Par la Cie du Pas Sage. Comédie en 5 actes et en vers de Molière créée à Paris au Théâtre du Palais Royal le 11 mars 1672.

– Mise en scène : Evelyne Thomas.
Avec Avec : Adrien Undorf, Anne Brevers, Aurélie Heins, Blandine Dewitte, François Devaux,
Georges Tournay, Hélène Thomas, Michel Gellée, René Thomas, Sylvie Lahaye

Philaminte est une mère autoritaire qui mène son monde, y compris son mari, Chrysale, à la baguette. Elle s’est piquée aussi d’être « savante » et parvient à entraîner sa fille ainée Armande et sa belle-sœur Bélise dans son sillage. Elle veut imposer un exaspérant poète à la mode, Trissotin, comme époux à sa fille cadette, Henriette. Henriette qui est une jeune fille éclairée, mais pas du tout «savante», aime Clitandre, un jeune homme de bonne famille, aimable et intelligent qui a été rejeté par Armande. De son côté, Armande a toujours des vues sur Clitandre qu’elle essaie de convaincre de maintenir une relation «de tête» où les affaires du corps n’entrent pas…

– Prix : 12€ / 10€ en prévente à la Maison du Tourisme de Malmedy
– Lieu : Salle de la Fraternité Malmedy. 

Comédie grinçante sur la vie de couple écrite par Dominique BOUSQUET. Une coproduction AMAPAC.

– Mise en scène : Olivier ILLING
– Comédiens : Aline GAVAGE et Mickaël SCHATAS.

Un couple va fêter ses cinq années de vie commune. Mais cette soirée sera le révélateur de leur difficulté à vivre ensemble, à se supporter et à bien s’entendre. Les plaies non cicatrisées, les sous-entendus et les faux semblants au quotidien sont autant de reproches et de bombes à retardement enfouis au plus profond d’eux-mêmes et qui, réactivés par des détails insignifiants, conduisent à s’avouer que vivre à deux n’est pas seulement le fruit de bonnes intentions auxquelles on fait semblant de croire mais une volonté constante de bâtir un projet de vie commun tout en s’accommodant des défauts et des erreurs de l’autre.

– Prix : 10€ / 8€ en prévente à la Maison du Tourisme de Malmedy
– Lieu : Salle du Vivier, au Malmundarium, le samedi 12 novembre 2016 à 20h00 et le dimanche 18 décembre 2016 à 15h00

Dans le cadre des fêtes de Wallonie.

De Martine Fontaine Jeanjean et Bernard Jeanjean.

Adieu l’amour. Vive les aventures d’un soir. Fanny, trentenaire célibataire, a décidé de tester son nouveau concept de vie sur Paul, un collègue de bureau. C’est simple, il suffit de remplacer les sentiments par le sexe. Tout est prévu : musique douce, lumières tamisées, dessous affriolants, et même, le timing de la soirée. Tous les deux se la jouent très fiers, genre « des soirées comme ça, j’en passe trois par semaine » alors qu’ils seraient plutôt cœurs d’artichaut. Tout était donc prévu, sauf ce qui ne l’était pas. La première comédie romantique du TTO, à ne manquer sous aucun prétexte !

Mise en scène Miriam Youssef
Avec Julie Duroisin et Pierre Poucet
Scénographie Thibaut De Coster et Charly Kleinermann
Création lumières Alain Collet
Décor sonore Laurent Beumier
Production Mazal asbl/Théâtre de la Toison d’Or

LA PRESSE EN DEUX MOTS:

« Cette comédie romantique légèrement acidulée nous procure éclats de rire et projection de notre propre existence. Le duo Julie Duroisin/Pierre Poucet fonctionne à merveille dans ce corps-à-corps sans temps mort » *** Le Soir

« C’est une véritable comédie romantique qui fera craquer monsieur comme madame qui se joue actuellement au TTO. »Culture Remains

« Sur la forme, c’est coloré comme une comédie romantique de série B. Sur le fond c’est vraiment drôle mais aussi doux-amer. On rigole, on s’y voit, et cela fait remonter bien des souvenirs… » La Libre

« Dans cette comédie romantique aux aspects de bonbons, ce duo Fanny/Paul se tâte, s’intimide, cherche à se séduire (…) rappelle le quotidien des amis, des collègues mais sans aucun doute, le nôtre. » **** Suricate Magazine

« La nouvelle pièce du TTO nous parle d’amour, de sexe, de drague, de romance. « J’me sens pas belle » est une pièce parfaite pour la fête de l’amour. » 7 sur 7

« Le duo Julie Duroisin-Pierre Poucet parvient à insuffler fraîcheur et talent comique. Le corps-à-corps maladroit des deux protagonistes provoque de beaux fous rires et nous renvoie en miroir, si pas la misère sentimentale, la difficulté des solitaires des grandes villes à trouver équilibre entre aventure et relation. » Metro

« Voici une pièce qui donne envie d’aimer… Presque pas de temps mort pour un spectacle qui change des précédents au TTO. » Le Bourlingueur du Net

Dans le cadre de la tournée des châteaux par le Théâtre des Galeries.   Marion, surnommée depuis l’enfance Peau de vache par ses frères, est l’épouse d’Alexis Brucker, un célèbre musicien. Entière, absolue, voire brutale, elle veille jalousement sur celui qui s’abrite, avec une philosophie toute masculine, derrière les intransigeances et les cris de sa tumultueuse compagne. Marion affirme « qu’une bonne vacherie ça réveille » et « que la gentillesse c’est une solution de paresse » !

De Barillet et Gredy. Créé au Théâtre de la Madeleine en 1975.

Marion, surnommée depuis l’enfance Peau de vache par ses frères, est l’épouse d’Alexis Brucker, un célèbre musicien.
Entière, absolue, voire brutale, elle veille jalousement sur celui qui s’abrite, avec une philosophie toute masculine, derrière les intransigeances et les cris de sa tumultueuse compagne.
Marion affirme « qu’une bonne vacherie ça réveille » et « que la gentillesse c’est une solution de paresse » !
Elle mène ainsi joyeusement la vie dure à tous ceux qui l’approchent que ce soit le brave Cazenave, vétérinaire porté sur la bouteille ou les campagnards du week-end, les Durand­ Bénéchol, des nouveaux riches…
Survient une jeune femme : Pauline, toute de douceur et de soumission, est l’opposé de Marion. Vulnérable et sensible, elle est l’incarnation même de la gentillesse.
Un match dont Alexis sera l’enjeu va s’engager entre les deux femmes.
De la méchanceté ou de la bonté, qui l’emportera ? Et de l’angélique Pauline à la terrible Marion, laquelle est la vraie « peau de vache »?

Tout au long de la seconde moitié du XXe siècle, Pierre Barillet et Jean-Pierre Gredy ont signé ensemble une trentaine de comédies qui ont fait les beaux soirs du théâtre parisien pendant des centaines, voire des illiers de représentations . Plus qu’une signature, Barillet et Gredy sont un label : la comédie dans ce qu’elle a de meilleure, des répliques acérées, une énergie et une gaieté communicatives. Des pièces raffinées, spirituelles, dans laquelle la légitime ambition de provoquer rires et sourires n’exclut ni le regard aimablement critique sur les comportements de l’époque, ni, à l’occasion, une certaine gravité.

Mise en scène: David Michels

Marion :Perrine Delers
Alexis :Pierre Pigeolet
Cazenave :Frédéric Clou
M. Durand-Benechol :Laurent Renard
Mme Durand-Benechol :Colette Sodoyez

Une vraie avocate qui se produit dans un one-woman-show comique: Nathalie Penning plaide pour l’humour. Par le Théâtre de la Toison d’or.

20 ans derrière le barreau

Une vraie avocate qui se produit dans un one-woman-show comique: Nathalie Penning plaide pour l’humour.

Nathalie est avocate et ne change même pas de robe pour monter sur les planches et raconter, drôlement bien, la face cachée de son joli métier. Œuvre utile, grâce au rire, elle a réconcilié les Belges et la Justice. Vous n’aurez aucun nom mais une vision assez particulière de ceux qui ne parlent qu’en présence de leur avocat. Et à la fin, c’est le rire qui gagne le procès.

VIDEO: Teaser SOUS LA ROBE

INTERNET www.ttotheatre.com/programme/sous-la-robe

DISTRIBUTION

De et avec Nathalie Penning 
Mise en scène Nathalie Uffner 
Création lumières Juan José Borrego
Décor sonore Laurent Beumier 
Production Mazal asbl/Théâtre de la Toison d’Or

LA PRESSE EN DEUX MOTS:

De la toge aux loges / L’Echo
Certains ont besoin de jouer. Au tennis, au golf, au foot. Elle, elle joue la comédie. C’est son défouloir, sa respiration, « rire c’est [sa] thérapie ».

Nathalie Penning, avocate du diable / Le Soir
Elle troque sa toge d’avocat contre sa rage de comédienne dans « Sous la robe », vision barrée du barreau.

Une avocate plaide sur scène / La Capitale
« Sous la robe », c’est la pièce qui cartonne actuellement au Théâtre de la Toison d’Or, sold out depuis la première semaine… «Avocat, c’est une profession qui a toujours fasciné », estime-t-elle.

Nathalie Penning rend justice à l’humour / Elle
Avocate dans la vraie vie, elle troque la toge pour un one-woman-show désopilant, et surprend. Oui, on peut exercer une noble profession et faire rire sans restriction.

Drôle d’avocate / Moustique
« Les avocats ne sont pas toujours beaux ! A cause de nombreux films, les gens ont une vision très caricaturale du métier. Moi, je veux le ramener sur terre. Il faut démystifier la profession, lui rendre une image humaine, montrer qu’on peut être parfois neuneus, parfois bébêtes ou même lâches ».

Dans sa vitrine aux néons fluos, Rose attend le client. Alors qu’elle vient de décommander son rendez-vous de ce soir, elle voit débouler dans son salon Nacho, un clandestin argentin poursuivi par la police.

PAR LE THÉÂTRE JEAN VILAR

Se rencontrer pour changer

Dans sa vitrine aux néons fluos, Rose attend le client. Alors qu’elle vient de décommander son rendez-vous de ce soir, elle voit débouler dans son salon Nacho, un clandestin argentin poursuivi par la police.Qui est Rose ? Une femme qui recueille, soigne, apaise les hommes. De chacun, elle garde une trace dans ses carnets méticuleusement tenus et régulièrement consultés par Muriel, sa femme de ménage. Mais Rose est aussi la femme d’un seul homme – Toni, son mec et son mac – pour qui elle est unique et pourtant partagée. Nacho quant à lui s’est exilé par amour et, trahi, se retrouve traqué par la police.Entre la prostituée au grand cœur et l’homme blessé, une même soif de liberté et d’indépendance, un même désir de rentrer dans la norme. Est-il possible de changer de vie après un mauvais départ ?

Mise en scène Alexis Goslain
Avec Sarah WOESTYN, Pedro Romero

Plus d’info sur le site www.atjv.be/Belles-de-nuit

Presse

Dans un efficace décor réaliste, la pièce enchaîne les face-à-face cocasses et les confrontations plus brutales pour livrer un tableau plein d’humanité sur la trace de ces êtres mal aimés, en butte à la vie médiocre qui leur a été réservée.
Le Soir, août 2014

Avec dextérité, d’un changement d’accessoire, les comédiens se glissent dans le peau de l’un ou de l’autre d’une manière impressionnante. Leur jeu extrêmement précis et charismatique touche juste.
La Libre Belgique, août 2014

Parfaitement irrésistible.
(…) Des émotions, de l’action, des dialogues savoureux et des comédiens très justes, on ne s’ennuie pas une minute avec ces « Belles de nuit », une pièce joliment touchante.

L’Avenir, mars 2015