Vous les avez adorés. Ils sont de retour à Malmedy ! Retrouvez la bande de trublions du rire de Dominique Bréda dans une comédie hilarante : « en attendant la fin » de Dominique Breda. Samedi 21 octobre salle culturelle La Fraternité.

En jouant sur le non-sens et le comique de situation, la pièce « En attendant la fin» interroge le sens de la vie.

Alice au pays de l’absurde et des possibles

Que se passe-t-il après la mort ? Y a-t-il un au-delà ? Y aura-t-il un enfer ? Un paradis ? Ou alors… n’y a-t-il rien d’autre que rien ? Retrouverons-nous un jour nos chers disparus ? Pourrons-nous rencontrer Dieu ? Pourrons-nous revenir sur Terre ? Puis-je brancher mon pc sur la télé via Bluetooth ? Ces questions nous hantent depuis l’aube de l’humanité. Le temps est venu d’y répondre.

Alice est morte. C’est triste, mais c’est comme ça. Nous allons la suivre sur les sentiers inconnus de l’Ultime Traversée. Là où le regard de l’Homme n’a jamais posé le pied. Dans l’immensité du temps, de l’espace et du reste. Les sciences et la philosophie ont échoué, la religion a échoué, mon beau-frère a échoué. Il ne reste plus que nous pour enfin y parvenir. Nous partons en voyage. En attendant la fin.

Plus absurde que jamais, l’humour de Dominique Bréda fait feu de tout bois… Le tout porté par une équipe de comédiens aussi déjantés que le sujet et une mise en scène aussi dépouillée qu’inventive.

Video bande annonce : https://www.theatrezmoi.be/26-video-by-thm/1223-en-attendant-la-fin-3

Samedi 21 octobre 2023 20h salle culturelle La Fraternité. Ouverture des portes à 19h00.

Mise en scène Emmanuelle Mathieu

Avec Jean-François Breuer, Julie Duroisin, Catherine Decrolier, Thomas Demarez et Amélie Saye

Création lumières & régie Sébastien Mercial et Nicolas Kluge

Construction Décor Atelier Théâtre Royal des Galeries

Visuel Dominique Bréda

Photos Aude Vanlathem

Production Lato Sensu

Tournée & Production exécutive LIVE Diffusion

Coproduction Centres culturels de Dinant, Huy et Verviers


« TOUT S’ENCHAINE A FOLLE ALLURE » L’AVENIR

« ALICE AUX PAYS DES MORTS » LA LIBRE

« DRÔLE À MOURIR! » L’ÉCHO

« DÉJANTÉ » LE SOIR


Article de presse par Nathalie Boutiau

Comique et profond par le thème abordé, « En attendant la fin» s’appuie sur le non-sens pour parler de la mort.
En jouant sur le non-sens et le comique de situation, la pièce « En attendant la fin» interroge le sens de la vie.

Une porte, c’est l’in connu et donc, une ouverture sur tous les possibles.
Dans la pièce En attendant la fin, de Dominique Bréda, il y en a plusieurs qui s’ouvrent et se ferment comme autant de questions restées sans réponse sur un thème qui pourtant en amène plusieurs. sieurs. Une seule les induit toutes : qu’y a-t-il après la mort ? En d’autres mots, que se passe-t-il après que nous soyons passés de vie à trépas ?

Thème large par sa portée, universelle et les différentes croyances religieuses ou culturelles qui le rejoignent, la mort, ici, est abordée avec le non-sens d’un texte qui s’appuie sur un jeu absurde et le comique de situations qui, toutes s’enchaînent à folle allure.

Le drame de la mort est, dans ce cas, effacé au profit d’un jeu burlesque qui, sans doute, veut révéler l’absurdité de l’existence qui nous fait passer tous d’un état à un autre lorsqu’arrive la fin. Le temps, ce qui lui donne matière, alors n’existe plus. Ni l’espace.

Jouant sur ce constat qui défie la raison jusqu’à la folie parfois, car difficile à accepter, la pièce s’enfonce avec délice dans un dédale de situations où les protagonistes sont tous plus farfelus les uns que les autres. À l’exception d’Alice, jeune femme décédée et tout juste arrivée au début de son chemin vers le néant.

C’est autour de ce personnage que se construit l’intrigue qui prend la forme d’un voyage en absurdie où Dieu lui-même, qui a les traits d’une femme, est considéré comme le créateur à qui tout échappe. Là est la subtilité du propos qui, en usant du rire et du comique amène la réflexion sur des thèmes forts tels que le respect de toute vie même animale et, plus que tout, de nos différents choix et décisions qui amènent des conséquences heureuses ou malheureuses, reprises lors du jugement dernier.

Mais tout n’est pas que rire et non-sens dans cette proposition de la bande de Dominique Bréda, par ailleurs auteur de « Purgatoire ». S’y mêle aussi avec poésie, la question du sens de la vie, ce qu’elle nous apporte de beau et qui, au terme de celle-ci, nous revient seconde après seconde sous la forme d’un film avec en conclusion donnée, celle de profiter de la vie tant qu’elle est là car le reste, ce n’est que des histoires.

Nathalie Boutiau

Dans le cadre des Fêtes de Wallonie Chants, contes et musiques traditionnels de la Wallonie malmédienne

Dans les cadres des fêtes de Wallonie, AMAPAC vous propose un concert exceptionnel avec le Brassband Xhoffraix et en soliste Denis Gabriel: Chants, contes et musiques traditionels de la Wallonie malmédienne.

-19h00: ouverture des portes

-19h30: prélude par l’académie de musique.

-20h00: concert et contes

Dans le cadres de la tournée es châteaux du Théâtre Royal des Galeries. 15 août 2023. Salle la Fraternité. 20h prélude par le Quintette Lodomez Brass. Ouverture des portes à 19h

Georges Feydeau était pour Marcel Achard le plus grand comique français après Molière. Ce n’est donc pas un hasard, si le Théâtre des Galeries relève le défi du vaudeville avec Georges Feydeau dans sa Tournée des Châteaux.

Le Système Ribadier est fondé sur l’exploitation, par le héros, d’un certain « système » qu’il utilise sur sa femme chaque fois qu’il désire obtenir un peu de liberté. Inutile de dire que le trop ingénieux « système » ne fonctionnera pas toujours à l’entière satisfaction de son auteur.

Le Système Ribadier, c’est la garantie de nombreux coups de théâtre et de grandes performances de comédiens dans une mécanique bien huilée où tout est basé sur le mouvement. Sandra Raco monte Le Système Ribadier à l’épreuve du jeu en plein air en ayant l’intention d’en faire ressortir tout le génie comique.

Pour en savoir un peu plus

« Mais regarde-moi donc dans les yeux… »
Chaque fois que M. Ribadier veut rejoindre une de ses maîtresses, il abuse de ses dons d’hypnotiseur. Les yeux dans les yeux, les mains dans les mains, un « je t’aime » rassurant, et voilà l’épouse endormie par le mari volage qui peut s’enfuir en toute tranquillité. Il fallait bien trouver ce « système » pour contrecarrer la jalousie d’Angèle depuis qu’elle a découvert le carnet de son premier mari, Robineau, qui y notait méticuleusement ses fredaines. Apprenant ainsi que celui qu’elle aimait aveuglément l’avait déshonorée par 365 fois en huit ans de mariage, Angèle est aujourd’hui sur ses gardes. L’arrivée impromptue de Thommereux, amoureux transi qui s’était exilé à Batavia pour ne pas trahir l’amitié de son ami, feu Robineau, pourrait faire imploser l’imparable système.
Le Système Ribadier a été créé au Palais-Royal en 1892, l’année de Monsieur Chasse et Champignol malgré lui. La pièce a été reprise en 1909 sous le titre Ni vu ni connu.
Les pièces de Feydeau reposent sur la qualité d’une intrigue construite avec un luxe de préparations. Généralement, un quiproquo provoque une série de rebondissements en cascade, de péripéties saugrenues, de situations cocasses, où brusquement, dans ce microcosme bourgeois, tout obéit à la folle logique d’un destin implacable. L’ensemble est emporté par un mouvement accéléré, dans lequel les personnages, qui passent continuellement de la crainte au soulagement et vice-versa, vivent dans une urgence qui leur interdit, comme au spectateur, toute réflexion.
Les personnages du Système Ribadier n’échappent pas à la règle, ils sont dessinés de manière singulièrement vivante. Madame Ribadier était naguère la plus confiante des épouses, mais ayant découvert après la mort de son premier mari qu’elle avait été trompée un « certain » nombre de fois, elle est devenue à l’égard de son second mari d’une jalousie maniaque. Ce qui va obliger Ribadier à concevoir un « système » dans lequel il a une imperturbable confiance. Menteur, il doit être imaginatif pour se tirer des fâcheuses circonstances où l’entraîne ses travers. C’est ainsi que Ribadier tente de persuader sa femme que l’entretien qu’il a eu avec le mari de sa maîtresse n’était en réalité qu’une scène de comédie qu’il répétait avec un de ses amis du cercle…. Thommereux est l’amoureux naïf, le malchanceux, l’éternel dindon de la farce qui manque tout ce qu’il entreprend. Reste l’inénarrable Savinet, marchand de vins et spiritueux qui n’a cure d’être trompé par son épouse du moment que cela ne se sait pas, ce qui lui causerait le plus grand préjudice dans ses affaires. Commerçant jusqu’au bout, Savinet, se contentera de contraindre son rival à lui acheter une bouteille de fine champagne.
D’un intérieur bourgeois représenté par Feydeau, nous glissons ici dans le jardin de cette même bourgeoisie. Et nos héros de pacotille prendront le soleil ou la lune par la magie de cette intrigue qui renferme bon nombre d’épisodes aussi ingénieux qu’amusants.

RIBADIER : Arnaud Van Parys
ANGELE : Julie Duroisin
THOMMEREUX : Robin Van Dyck
SAVINET : Pierre Haezaert
GUSMAN : Virgile Magniette
SOPHIE : Laurie Degand

Mise en scène : Sandra Raco
Décor : Léa Gardin
Costumes : Sophie Malacord

Brasero a mis le feu à l’ancienne abbaye de Malmedy !

Incendiée à plusieurs reprises au cours des siècles, ce lundi de Pentecôte, c’est Brasero, le meilleur coverband de Pierre Rapsat qui y a mis le feu !

Invités par Amapac et le Syndicat d’initiative, les musiciens ont créé une ambiance tout simplement incroyable.

Des fans venus d’un peu partout en Wallonie ont chanté, dansé, applaudi à faire trembler les solides murs de l’abbaye.

La voix d’Olivier Fivet, incroyablement proche de celle de Pierre Rapsat a ravi le nombreux public. Beaucoup en ont profité pour visiter l’exposition consacrée à Pierre Rapsat au Malmundarium et passer la journée à Malmedy en attendant le concert.

90 minutes de concert et de nombreux rappels… Un pur bonheur ! Les chansons de Pierre Rapsat n’ont pas pris une ride !

Que l’aventure de Brasero continue… Que la musique de Pierrot vive !

Une courte video

Faut-il être fou pour être belge ? Non peut-être…

La Belgique en septante minutes ! « En Belgique, il faut être un peu fou sinon tu deviens dingue ».

Une démonstration d’autodérision et de douce folie belge. Tout y passe : la brève Histoire belge, quelques mots de flamand, nos deux reines et nos deux rois, le « Non, peut-être », la seule façon au monde de bien cuire les frites (le Belge cuit ses frites deux fois!) et le reggae belge (très gai) : « De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves ». Yeah ! C’est le tube de l’année.

Un spectacle de septante (traduction de soixante-dix…) minutes qui a régalé les spectateurs du Festival d’Avignon. Détente et pure bonheur : à ne pas manquer !

Extrait video: cliquer ici

AMAPAC en collaboration avec la Ville de Malmedy présente un ciné-concert inédit : « La ville sans les Juifs » avec l’orchestre L’HEURE DE MUSIQUE.

La bobine du film réalisé en 1924 avait disparu jusqu’à ce qu’un collectionneur la retrouve, miraculeusement, sur un marché aux puces en 2015. C’était bien la version complète mais en très mauvais état. Un vaste appel aux dons pour sauver cette pépite a été lancé en Autriche. Le film est maintenant complètement restauré.

Il s’agit d’une part de la projection d’un film visionnaire et pertinent dans le contexte actuel et d’autre part de la reconstitution d’une séance de cinéma muet avec orchestre en live telle qu’elle aurait pu se dérouler dans les années 1920 à Vienne, Berlin, Paris, Londres,…

Les musiciens de L’HEURE DE MUSIQUE ont opté pour des extraits musicaux d’œuvres très connues qui évoquent le climat des scènes.

Ce soir, ils sont sous la direction du chef d’orchestre Léonard Ganvert de renommée internationale. Il a dirigé la plupart des grands orchestres d’opéra de Paris, d’Ostrava, de Berlin, de Londres, de Shangaï,…

Ce spectacle a été applaudi dans les plus grandes salles de France, de Belgique et des Pays-Bas. Ce qui n’est pas surprenant vu le brio des musiciens qui viennent de France, de Belgique, d’Allemagne, des USA et du Japon.

C’est donc à une soirée historique à plusieurs titres que nous vous invitons le jeudi 19 janvier 2023 à 19h30 en la salle La Fraternité.

Les cartes d’entrée sont en vente à la Maison du Tourisme à Malmedy au prix de 15€ en prévente et 17€ le soir-même.