De Myriam Leroy. Par le théâtre de la Toison d’or. « Une grosse claque bien féministe, qui fait plus de rire que de mal.» Flair Prix de la critique 2016-17 : meilleure auteure.

It’s a match !

Si l’amour se choisissait sur catalogue, ça se saurait, non ? Pourtant, chacun passe commande, espérant être livré. « Sophie, 40 ans, cherche un type qui lui dira des atrocités en lui claquant les fesses », « Igor, 30 ans, cherche une fille qui aime les activités répétitives », … « Cherche l’amour » explore la rencontre amoureuse à l’heure de Facebook, Tinder et Adopte un mec, de tous les outils virtuels censés faciliter l’adéquation entre l’offre et la demande. Sous la plume de Myriam Leroy, quatre comédiens transformistes endossent une série de profils modernes qui s’entrechoquent et finissent parfois par s’emboiter (et se claquer les fesses en se disant des atrocités). Une comédie romantique pop, grinçante et tendre, qui fut un des hits de la saison dernière au TTO.

De Myriam Leroy Mise en scène Nathalie Uffner Avec Myriem Akheddiou (en alt. Nicole Oliver), Sandy Duret, Pierre Poucet et Marc Weiss Scénographie Thibaut De Coster et Charly Kleinermann Création lumières Alain Collet Décor sonore Laurent Beumier ProductionMazal asbl/Théâtre de la Toison d’Or

LA PRESSE EN DEUX MOTS

« Myriam Leroy livre une pièce grinçante, désopilante et résolument féministe (…) Une grosse claque bien féministe, qui fait plus de rire que de mal. » Flair

« Pour vous, rentrée rime avec morosité? Alors filez vite voir Cherche l’Amour. Parce qu’1h40 de pur bonheur, ça vous requinque à mort! » Marie-Claire

« Au total une « série » TTO pas loin de la « qualité Ministru », dans « Cendrillon, ce macho ». Un début en fanfare, donc. » RTBF

« On retrouve avec plaisir la plume acide que manie avec talent Myriam Leroy. Les répliques fusent, font mouche et surtout rire. C’est une vraie prouesse. Chapeau ! » La Libre

« Myriam Leroy nous fait presque la totale. Servis par une mise en scène très pop culture » Moustique

« A travers une galerie de portraits de premier ou de dernier rendez-vous, Myriam Leroy croque avec justesse les petits défauts de chacun et en profite pour faire passer sa vision du couple et du féminisme. On rit de bon cœur et on tente de retenir les répliques qui font mouche pour le prochain rendez-vous. » Le Soir

« Dans un décor digne du TTO, les comédiens nous offrent une vraie performance. » Culture Remains

« Une série de petits sketchs interprétés à merveille par des comédiens ultra-polyvalents et franchement désopilants » Le Suricate

« Par son humour caustique, Myriam Leroy rend cocasses ces rendez-vous ratés et nous vaccine contre le marché de l’amour. » Demandez le programme

!! 2îme ruprézintâcion: Dîmègne 16/9 à 16 eûres !!

Une pièce nous racontera en différents tableaux humoristiques comment l’identité linguistique et culturelle wallonne des Malmédiens a été fortement influencée par le régime prussien jusqu’en 1920, puis par le régime belge à partir de cette date.

!! 2îme ruprézintâcion: Dîmègne 16/9 à 16 eûres !!

Une pièce nous racontera en différents tableaux humoristiques comment l’identité linguistique et culturelle wallonne des Malmédiens a été fortement influencée par le régime prussien jusqu’en 1920, puis par le régime belge à partir de cette date.

Dans le cadre de la tournée des châteaux de la compagnie du Théâtre des galeries.

Cette comédie, l’une des plus gaies de Musset, démontre avec grâce et fantaisie qu’en amour du moins, on ne saurait jurer de rien.
On vous donne rendez-vous avec la troupe énergique du théâtre des Galerie pour un spectacle optimiste où l’humour et l’ironie dominent !


Ballet amoureux…

Tout comme Camille dans « On ne badine pas avec l’amour », Valentin refuse le mariage dans « Il ne faut jurer de rien », l’une par endoctrinement et orgueil après des années de couvent, l’autre par crainte de souffrir et…  Par orgueil.
Valentin a 25 ans et mène une vie insouciante entre les femmes, le jeu et l’alcool, grâce à l’argent de son oncle qui décide pourtant un jour d’arrêter de payer ses dettes s’il ne se marie pas. Mais le jeune homme craint les amours éphémères. À ses yeux, se marier, c’est prendre le risque d’être trompé, de souffrir à la fois de la honte et de l’amour blessé. L’oncle, Van Buck, décide pourtant d’aller rendre hommage à la baronne de Mantes; il espère obtenir la main de sa fille, Cécile, pour son neveu. Valentin manigance alors un « piège » : tenter de séduire en huit jours la jeune fille, si elle succombe à ses charmes, il ne l’épousera pas puisque cela démontrerait sa frivolité. En effet, comment avoir la garantie qu’un galant ne pourrait pas la conquérir aussi facilement après le mariage ?

Bien entendu, la suite illustrera le proverbe « Il ne faut jurer de rien » : c’est-à-dire qu’il ne faut jamais être trop sûr de soi et hâter son jugement car tout peut se révéler bien différent.

En 1836, Alfred de Musset est un homme blessé. Il n’a que 26 ans et a déjà connu les affres du désespoir amoureux aux côtés de Georges Sand avec qui il a vécu quelques courtes années intenses et tumultueuses. L’amour, principal sujet de ses tourments, constitue aussi le cœur de son œuvre lyrique et romantique. En 1836, il publie « Il ne faut jurer de rien », pièce en trois actes autour d’un proverbe.
Musset exploite avec brio toute une gamme de procédés comiques dans son proverbe résolument tourné vers une optimiste gaieté. L’humour et l’ironie dominent : ces deux registres font la force et le charme de Valentin lors de ses joutes verbales avec son oncle dont les arguments moralisateurs sont systématiquement contrés par des réparties plaisantes.
Les diverses formes de comique (caractère, situation, mots, gestes) manifestent constamment l’esprit de l’auteur.

Par le Théâtre de Liège. « Très en verve, Jean-Marie Piemme mêle allègrement envolées brillantes, dialogues cinglants, coups de griffe et répliques déconcertantes. »

Parce que c’est la crise, parce que l’avenir est vacillant, parce que des milliers de personnes assiègent quotidiennement la citadelle Europe, parce que les Trente Glorieuses, c’est bel et bien fini, parce que les délinquants sont quand même toujours des étrangers, parce qu’il y a pauvre et pauvre et que trop c’est trop, la famille bien blonde que décode le spectacle est assaillie par un bataillon de frayeurs. Comme bon nombre d’autres en Europe, elle se blottit alors derrière des partis d’extrême droite et vote pour ceux qui, en répandant haine raciale et repli identitaire, ceignent d’un lourd cadenas l’harmonie du XXIe siècle. Leurs paroles xénophobes se démusellent chaque jour d’avantage car la peur est bien le terreau de l’abomination, nous le savons, mais il est urgent de le rappeler, et plus que jamais d’ailleurs. Le metteur en scène Fabrice Schillaci l’exprimera par l’humour, avec la langue acerbe et incisive de Jean-Marie Piemme qui relève le défi, ô combien difficile, de désamorcer la gravité des choses sans faire l’économie de la réflexion et de la prise de conscience. Le rire est là pour sucrer les larmes !

Interprétation Joëlle Franco, Élisabeth Karlik, Stéphane Vincent
Texte Jean-Marie Piemme
Conception et mise en scène Fabrice Schillaci

La presse en parle:

« Ce qui peut nous paraître comme une exagération dans les paroles des acteurs, tant les sujets abordés frappent ou font rire, il est difficile de rester insensible à ce véritable panaché de faits quotidiens déclamés avec éloquence et sarcasme. » Jardin Publik-Radio Panik, Ray Laurens, 23 octobre 2017


« Très en verve, Jean-Marie Piemme mêle allègrement envolées brillantes, dialogues cinglants, coups de griffe et répliques déconcertantes. » Demandez le programme, Jean Campion, 17 octobre 2017


« L’humour caustique de Jean-Marie Piemme stigmatise la montée des extrêmes droites européennes ; la mise en scène, sur le fil du rasoir, évite le piège de la vulgarité. Un spectacle chaleureusement applaudi par le public qui rit à bon escient, ce qui témoigne de la justesse de l’interprétation. » Théâtre du Blog, Mireille Davidovici, 14 octobre 2017


« Au rire cathartique voulu par le metteur en scène, l’auteur répond par l’allégorie farcie de caricature. Sans éviter les clichés, son écriture féroce, son sens de la formule font grincer la fable jusqu’à la distorsion. » La Libre Belgique, Marie Baudet, 13 octobre 2017


« La Blondinette (décapante Elisabeth Karlik), avec ses longs cheveux, rappelle furieusement Marion Maréchal-Le Pen tandis que sa mère (explosive Joëlle Franco) dégobille tout ce que lui inspire le « virus progressiste ». Dans le rôle du père, Stéphane Vincent est à la fois irrésistible et résistible (comme le personnage de Bertolt Brecht). Mise en scène par Fabrice Schillaci, la pièce désamorce son fond nauséabond avec un sens affûté du grotesque, et avec un humour de plus en plus décalé, voire surréaliste. » Le Soir, Catherine Makereel, 14 août 2017

Par la Royale Etoile Wallonne de Chôdes SPECTACLE OFFERT PAR AMAPAC ET SES PARTENAIRES.

Roland Fortin, auteur de roman, divorcé depuis 10 ans, fête son anniversaire. Il a invité une femme qu’il vient de rencontrer. Tout ne va pas se passer comme prévu! Une suite de situations rocambolesques vont se succéder !

Spectalcle offert par AMAPAC et ses partenaires:

Invitations disponibles à la Maison du Tourisme – Malmedy

Pour les ainés à l’accueil à la maison communale,
à la taverne « chez Remy » à Xhoffraix et au magasin Piront-Bastin à Ligneuville