Pas de spectacle à cause des mesures Covid

Une comédie de François Dumortier. Par le théâtre de la Toison d’Or de Bruxelles. Par les anciens comédiens de « Sois Belge et tais-toi ». Alerte au rire !

De et par Cécile Djunga (Miss Météo à la RTBF). Le spectacle actuellement en tournée en Belgique, en France et en Suisse a récemment été élu « Meilleur de l’année 2018 » dans la catégorie scène par Paris Match & C’est du belge.

Etre Célèbre ? : Une prouesse ? En tout cas une obsession !
Pour entrer dans la lumière elle va multiplier les tentatives : « pousser la chansonnette », vendre des bananes, narrer de grands récits Historiques, participer aux castings de la Télé réalité, créer des applis originales, devenir mannequin ou footballeuse, ou les deux…..
Devenir Miss Météo (… euh çà c’est fait !) faire un buzz ! (… euh çà c’est fait aussi !)
Pendant 1h 15, Cécile DJUNGA nous transporte dans ses nombreux univers déjantés , un parcours de la combattante pour devenir « presque célèbre ».
Des personnages variés, des répliques cinglantes qui se mêlent au « capital sympathie » dégagée par cette talentueuse comédienne.
Au programme: de la musique, de la danse et des vannes! Un show drôle et rythmé que vous n’êtes pas prêt d’oublier.
Elle ose (presque) tout! Un vrai feel-good!

De Cécile DJUNGA, Gaetan DELFERRIERE, Simon BERTRANDMise en Scène : Etienne SERCKLumières : Anthony VanderborghtStylisme : Samia BOUJHAR

Une comédie décapante des auteurs de « Le Prénom ». Par le Théâtre Arlequin dans le cadre des fêtes de Wallonie.

De Alexandre de la Patellière & Matthieu Delaporte.

Mise en Scène : Marcel Kervan • Décor : Philippe Waxweiler • Costumes : Marie-Josée Delecour • Lumières et décor sonore : Franco De Bartolomeo et Alex Fontaine

Avec Catherine Ledouble, Jean-Louis Maréchal, Serge Swysen

Dans le cadre des fêtes de Wallonie, Amapac vous donne rendez-vous le 14 septembre pour de savoureux moments de rires ! Le Théâtre Arlequin revient à Malmedy avec « le dîner d’adieu », la nouvelle comédie de l’équipe du « prénom », Alexandre de la Patellière et Matthieu Delaporte.

Pourquoi se rend-on si souvent à des dîners où l’on n’a pas envie d’aller, pour voir des amis qui n’en sont plus vraiment ? Par habitude ? Par gentillesse ? Par lâcheté ?

Grisés à l’idée de faire le ménage dans leurs agendas en faisant le tri parmi leurs vieux amis, Pierre et Clotilde Lecoeur décident d’organiser des dîners d’adieu, forme ultime de divorce amical.

Mais, en choisissant – comme première victime – Antoine Royer, un ami spécialement ennuyeux, Pierre et Clotilde ignorent qu’ils mettent le doigt dans un engrenage infernal.

Une satire spécialement drôle, captivante, irrésistible avec pour sujet l’hypocrisie sociale, amicale autant que conjugale.

Rendez-vous donc le samedi 14 septembre à 20h à la salle de la Fraternité pour une soirée thérapeutique !

Dans le cadre de la traditionnelle tournée des châteaux du Théâtre des Galeries.

Une histoire d’amitié contrariée par l’irruption d’un nouveau venu et par d’anciennes trahisons révélées à cette occasion.

Un talent sûr, un sens des dialogues qui ont l’apparence du naturel mais qui sont très bien ciselés, des personnages qui possèdent une épaisseur humaine. Dans cette pièce, on retrouve les thèmes qu’Éric Assous puise dans notre société. Des thèmes éternels tels que l’amour et le couple, mais actualisés selon les mœurs de notre époque. Avec « L’Heureux Élu », il nous conduit chez des quadragénaires bien établis, des bourgeois vaguement bohèmes.
Charline est heureuse : elle va épouser l’homme de sa vie ! Avant de le présenter à ses meilleurs amis, elle précise qu’il est un peu spécial. En effet, il est beau, riche, raffiné mais il pense « différemment » …
Que faire ? Respecter son choix, négocier ou rejeter « l’heureux élu » ? Éric Assous abat ses cartes méthodiquement. Il ne juge personne. Il observe ses personnages avec une bienveillance non dénuée d’ironie.
La nouvelle pépite d’Éric?Assous (« Les belles-sœurs », « Les hommes préfèrent mentir », « Nos femmes »,…) oscille, pour notre plus grand plaisir, entre satire et vaudeville, relevant le défi de nous faire rire tout en nous amenant à réfléchir sur nos rapports aux autres, sur le politiquement correct et sur les limites de l’amour et de l’amitié.

« Eric Assous pose sur ses personnages un regard sans jugement, il pose des caractères et des réactions fluides d’une situation à l’autre. Aucun parti pris de mettre plus en avant l’une ou l’autre manière de réagir. Et rien dans les dialogues non plus n’indique une quelconque prise de position. Chacun joue  selon ses propres schémas et valeurs morales et à aucun moment le spectateur ne peut se raccrocher à l’un ou l’autre qui ferait pencher la balance. Ici, donc, plus de questions que de solutions.
Soulignons le personnage de Jeff, multi facettes, tout à la fois déprimé et optimiste, tout à la fois brave et lâche, tout à la fois colérique et comique. Ressort humoristique et attendrissant de la pièce, sorte d’écho courageux et sincère, n’hésitant pas à clamer haut ce qui dérange et à mettre les pieds dans le plat. »
Le suricate.org

Un western légendaire, avec ses splendeurs et ses misères. Par la troupe « 3 Coups sous les Ponts » de Trois-Ponts.

Hirsute, la voix cassée, il est un vieux dur à cuire, cow-boy sans peur et sans reproche, patriarche au sang chaud et aux propos musclés. C’est Rockfeller, personnage haut en couleur de cette parodie de western, mijotée avec humour et relevée d’une pointe de poésie par René de Obaldia. Dans un ranch encerclé d’indiens, il y a
là le médecin ivrogne, la mère au solide bon sens, la fille de joie au grand cœur, le shérif justicier. Le texte est drôle, inventif, blagueur. Un western légendaire, avec ses splendeurs et ses misères.

Mise en scène : José Rodriguez
Avec : Achille Bebronne, Christiane Demblon, Thierry Gustin, Pascal Hen-riet, Véronique Jamaer, Jean-Jacques Julien, Bernard Maréchal, Caroline Massotte | Aide-mémoire : Cécile Mar-tin | Régie : Jean-Luc Bertrand, Arnaud Parotte.

Une comédie de David Pharao. Par la comédie centrale. Avec Guy Lemaire.

Cinquante ans, trois ans de chômage, des indemnités en chute libre, Gérard est au bout du rouleau quand il est enfin recruté pour un poste en Indonésie. Pour se concilier les faveurs de « l’intégrateur de compétences », Gérard l’invite à dîner chez lui.

Sa femme Colette, piètre cuisinière, s’affole. Alexandre leur voisin, expert en communication, propose de s’occuper du menu et des transformations nécessaires pour recevoir « l’invité ».

De Myriam Leroy. Par le théâtre de la Toison d’or. « Une grosse claque bien féministe, qui fait plus de rire que de mal.» Flair Prix de la critique 2016-17 : meilleure auteure.

It’s a match !

Si l’amour se choisissait sur catalogue, ça se saurait, non ? Pourtant, chacun passe commande, espérant être livré. « Sophie, 40 ans, cherche un type qui lui dira des atrocités en lui claquant les fesses », « Igor, 30 ans, cherche une fille qui aime les activités répétitives », … « Cherche l’amour » explore la rencontre amoureuse à l’heure de Facebook, Tinder et Adopte un mec, de tous les outils virtuels censés faciliter l’adéquation entre l’offre et la demande. Sous la plume de Myriam Leroy, quatre comédiens transformistes endossent une série de profils modernes qui s’entrechoquent et finissent parfois par s’emboiter (et se claquer les fesses en se disant des atrocités). Une comédie romantique pop, grinçante et tendre, qui fut un des hits de la saison dernière au TTO.

De Myriam Leroy Mise en scène Nathalie Uffner Avec Myriem Akheddiou (en alt. Nicole Oliver), Sandy Duret, Pierre Poucet et Marc Weiss Scénographie Thibaut De Coster et Charly Kleinermann Création lumières Alain Collet Décor sonore Laurent Beumier ProductionMazal asbl/Théâtre de la Toison d’Or

LA PRESSE EN DEUX MOTS

« Myriam Leroy livre une pièce grinçante, désopilante et résolument féministe (…) Une grosse claque bien féministe, qui fait plus de rire que de mal. » Flair

« Pour vous, rentrée rime avec morosité? Alors filez vite voir Cherche l’Amour. Parce qu’1h40 de pur bonheur, ça vous requinque à mort! » Marie-Claire

« Au total une « série » TTO pas loin de la « qualité Ministru », dans « Cendrillon, ce macho ». Un début en fanfare, donc. » RTBF

« On retrouve avec plaisir la plume acide que manie avec talent Myriam Leroy. Les répliques fusent, font mouche et surtout rire. C’est une vraie prouesse. Chapeau ! » La Libre

« Myriam Leroy nous fait presque la totale. Servis par une mise en scène très pop culture » Moustique

« A travers une galerie de portraits de premier ou de dernier rendez-vous, Myriam Leroy croque avec justesse les petits défauts de chacun et en profite pour faire passer sa vision du couple et du féminisme. On rit de bon cœur et on tente de retenir les répliques qui font mouche pour le prochain rendez-vous. » Le Soir

« Dans un décor digne du TTO, les comédiens nous offrent une vraie performance. » Culture Remains

« Une série de petits sketchs interprétés à merveille par des comédiens ultra-polyvalents et franchement désopilants » Le Suricate

« Par son humour caustique, Myriam Leroy rend cocasses ces rendez-vous ratés et nous vaccine contre le marché de l’amour. » Demandez le programme

!! 2îme ruprézintâcion: Dîmègne 16/9 à 16 eûres !!

Une pièce nous racontera en différents tableaux humoristiques comment l’identité linguistique et culturelle wallonne des Malmédiens a été fortement influencée par le régime prussien jusqu’en 1920, puis par le régime belge à partir de cette date.

!! 2îme ruprézintâcion: Dîmègne 16/9 à 16 eûres !!

Une pièce nous racontera en différents tableaux humoristiques comment l’identité linguistique et culturelle wallonne des Malmédiens a été fortement influencée par le régime prussien jusqu’en 1920, puis par le régime belge à partir de cette date.